Nationale 2 homogène
Le REC a ouvert son compteur dans un début de championnat délicat hors de ses bases : deux déplacements, deux bonus, deux duels que les Bretons auraient pu remporter. Face à Anglet, la formation bretonne dominait à l’heure de jeu tandis que contre Salles, elle a débuté pied au plancher en menant 7-0 après 4 minutes, avant de se déliter. Franchement, ces affiches ont planté le décor de ce à quoi doit ressembler ce championnat entre homogénéité, combat et âpreté. Le REC était prévenu et a limité les dégâts, il faut désormais l’emporter et se montrer difficile à manier en terres bretonnes, en montant notamment le curseur sur la discipline.
Le SCG, club centenaire
Fondé en 1910, le Sporting Club Graulhetois est une place forte du rugby français, lequel a notamment vu évoluer dans ses rangs Vincent Moscato, Fabien Pelous, David Auradou et Yannick Jauzion. Déjà en Nationale 2 l’année passée, le SCG a obtenu son maintien sur le gong et a réalisé un recrutement ambitieux avec Valentin Tirefort et Alexandre Benard en tête d’affiche. D’entrée, le club tarnais s’est montré à son avantage en gagnant à Limoges avant de se heurter à Saint-Jean-de-Luz.
Le joueur à suivre
Feu-follet formé en Bourgogne, Jules Missland est arrivé en provenance de Beaune à l’intersaison. Face à Graulhet, il va jouer son premier match officiel en Noir et Blanc ; avec l’occasion de montrer l’étendue de sa panoplie entre vitesse et crochets vifs après avoir notamment marqué conter l’OMR en amical.
Le baisser de rideau
L’équipe de Thierry Aussillous, Maximiliano Cocetta et Nicolas Brouster défiera Marmande en baisser de rideau, à 20h30. La formation Espoirs Nationaux a débuté en glanant deux succès face à Niort puis à Limoges. Le ticket d’entrée donne accès aux deux affiches.