Ambiance. Réception corsée était promise aux Rennais, bruyamment d’abord ce fut le cas, tronçonneuse allumée, fumigènes, pétards, chants, hurlements, pour faire monter la pression avant le sifflet d’ouverture.
Sur le combat ensuite, après quelques secondes l’échauffourée lance la confrontation et Acebes sort dix minutes. Quelques secondes plus tard, le REC a le ballon et met la climatisation. Beaujouan avance, Botica trouvé, numéro précis pour l’ouvreur, qui mime la passe avant d’attaquer et franchit pour ouvrir le score. Il marque et transforme lui-même, 0-7, 3e minute.
Jeu. Rapidement, les locaux rétorquent et jouent en avançant pour prendre le score avant la mi-temps, les duels sont accrochés tant offensivement que sur les rucks où les formations n’hésitent pas à tenter le grattage. Dans le deuxième acte, le SJLO mène encore.
65e minute, Botica fait avancer son équipe, précis du droit, 68e minute, l’ouvreur assure face aux poteaux, 25-20. Virtuellement, les Rennais sont encore qualifiés mais doivent tenir. 75e minute, bagarre générale, sorties pour Chiappesoni, Belie et Wenger. 78e minute, dans l’euphorie, le SJLO aplatit à nouveau en jouant sur le large. 80e minute, pression rennaise et Massicot peut sortir le ballon. Qualification.
Noir et blanc. Véritablement, le REC a dû faire face à l’hostilité adverse mais a résisté pour voir le tour suivant. Dans ce duel rythmé, les Noir et Blanc ont surtout porté et représenté l’Hermine et étonné probablement les observateurs en se qualifiant. Récit réciste à l’encre noire, tel était le sujet. Il y a encore du liquide dans le stylo pour conter Périgueux, l’adversaire suivant.